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    alcool mon cher et terrible mélasse que de fois me suis-je laisser griser  sans en connaitre réellement les méfaits et les tracas qui en découleraient.

    quand ma douleur devenait trop lourde à supporter à affronter ,quand dans mon corps tout espoir été bannis mon seul refuge, j'allais le récupérer dans les poubelles de l'oublie; ce liquide dont je n'arrivais meme plus à en connaitre la couleur glissé le long de ma gorge quand il m'embrasait m'anéantissait me laissant raide morte sur le bout d'une table, incapable de me maudire pour ce que je devenais, alors je me détestais je me haïssais j'avais beau dégueulée toute ma vie  la société l’erreur de parcourt la mort par overdose ,j'agonissais mes souffrances ma lassitude de vivre immonde devenait mon ombre tel un couteau bien aiguisé affuté, régnant en maitre faisant sa loi.j'avais beau crier mes colères les injustices les maltraitances afin de m'en libérées, faire la paix avec moi meme je restais figée prostrée sur ma déchéance et aux bout tout aux bout me regardant d'un air indécent la faucheuse de mort ma mémoire filée effilochée dans des verres peintes au couleurs étranges je titubais le long des labyrinthes  infernale tumultueux j'avais beau supplier de s’arrêter à n'en pouvant plus d'avoir à avaler toutes tes saloperies alcoolisées

    indifférentes je regardais défiler aux travers de mes cauchemars tout mes espoirs se noyant aux portes de mes enfers je errais parmi des culpabilités certaines.quand tout mon passé refaisait surface je me retrouvai devant un précipice nébuleux pourquoi aussi m'as -tu jeté sur des trottoirs remplis d'incertitudes de doutes?

    je fuyais le néant et me retrouvais nez à nez avec des lendemains au gout très amers et combien douloureux

    pourquoi aussi m'as-tu jeter dans des bras livides ou tous mes fantômes se serrant les coudes se riaient de moi?

    j'ai été stupide sans aucune ambitions j'ai cru qu'en me jetant dans tes filets je pouvais oublier.

    l'ignoble poison! illusion sournoise! lui continuer de me grignoter tel un prédateur de ses dents pointues il à bu tout mon sang et la remplacer par un obscur poison nommé: alcool!


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  • je suis là dans cette gare je regarde partir les gens heureux vers leurs destinations

    moi c'est plutôt l'angoisse et mes peurs me noue et me tord le ventre une peur que je n'arrives pas à contrôler, une peur qui me faisait perdre tout raisonnement a me rendre folle de douleur la peur l’horrible peur  me faisant perdre tout contrôle la peur jusqu’à l'obsession en un mot la phobie!

    comme j'envie ses estivants  partant en vacance essayant un court moment d'oublier leurs soucis comme j'aimerais être a leur place moi qui n'en finit pas de vivre cauchemars sur cauchemars  et tourbillons sur tourbillons

    peur aussi que le hasard ne mette sur ma route des dealeurs me réclamant de l'argent comme ca m'est arrivée...peur de la confrontation avec ma fille peur! peur! peur! elle m'en finira donc jamais de me tordre et  de m’arracher les tripes ?


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  • non tu ne chialeras pas! meme si ca te fais du mal elles serraient trop contente de te voir un genoux a terre

    tu ravaleras tes larmes fièrement ,tu avanceras t’inquiète la collectivité n'engendre que la méchanceté !

    surtout ne chiale pas des cons tu en trouveras partout! ils fleurissent les murs de notre belle France le plus fort c'est  qu'ils arrivent a s'ignorer tant ils se sentent supérieur a eux-mêmes

    alors avale tes larmes ne leurs laissent ce plaisir

    cat tu as dans ton crane et tes mains une arme redoutable : les mots qui dérangent dénonce a tout vas tout ce qui vas de travers  tu en éprouves le besoin pour toi il est vital de mettre des mots sur ce qui fait mal!

    tu vois encore une fois tu as su résister,tu as su retenir tes larmes tu as su serrés les dents ta as su serrés les poings!

    avec des mots tu as su! fonçais dans le tas tu n'a pas flanchée ta victoire tu la bien mérite


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  • ma tete,j'ai la tete completement vide je n'ai plus de cervelle,je nage dans l'irréel malgré mon fauteuil roulant je sens que je pars j'ai aussi l'impression bizarre que ma tete ne m'appartiens plus comme si avant de descendre dans le jardin je l'avais poser sur ma table de nuit je suis vidée je suis incapable de penser de me concentré on m'a dérobée ce qu'il y avait de plus cher en moi on l'a mis en charpie

    passage à vide je suis allongée dans mon lit forcé contrainte à ne plus bouger meme un bout de pied

    je goute à la dépendance c 'est loin d'etre rassurant je rage de ma condition  avec désespoir je ronge mon frein me demandant si  un jour je pourrais remarcher

    humer l'air sentir le vent à nouveau me caressée la peau le visage oui je rage de me sentir la ou je suis

    tout ça à cause d'un malaise que j'ai eu tout ça à cause des examents  qui se sont sucedée  et qui ont mis le doute dans ma tete

    parfois les médecins feraient bien de réfléchir avant de lancer n'importe quoi à la légère devant eux se trouve des malades qui n'ont pas envies d'entendre dire ce qu'ils ont ils sont fragilisaient de par leurs passés qu'ils ont du subir

    me relevée partir de l'avant reprendre le court de ma vie marché, écrire mettre des mots sur ce qui ma fait le plus mal 

    heureusement que j'ai eu mon fils et des amies qui m'ont soutenu donné aussi raison devant l'irresponsabilité de certains médecins!


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  • il y a de cela un mois après une mammographie tournant à une véritable torture ont me fis savoir que ça allée que c'était nickel

    contente de ne pas avoir souffert pour rien j'ai dis aux ambulanciers qui m'ont conduit "à ma torture  à l'année prochaine!"

    aujourd'hui j'ai envie de chialer toutes les larmes de mon corps

    chialer sur la malchance qui me poursuit! mais aurais-je assez de larmes,moi qui jadis en à tant versées

    car me revoilà avec ma "saleté" de maladies

    le docteur qui m'a faites la mammographie m'avait laisser entendre que sur le sein gauche elle m'arrivait pas à comprendre pourquoi le sein c'étais retracté , alors ont m'a fait une i-r-m  meme torture étant remplie de la tete aux pieds d'artrose .moi c'est examens je les ai en horreur

    me revoilà avec l'épée d'amocles tournoyant aux dessus de ma tete je m'en serais bien passé de celle-là 

    ont a beau lutter se donnais de l'espoir quand la malchance vous poursuit  vous n'y pouvais rien!

    au aguets elle t'attend  t'elle une sadique, t'elle un morpion elle s'accroche à toi! te fais un petit signe comme pour te faire comprendre"tu vois je suis encore là! je ne t'ai pas oublier!"

    "oui je vois mais sincerement tu n'était pas obligée de te rappellais de moi! tu sais j'ai encore des tas de choses à faire à apprendre à réalisée  ce n'ai pas ta presence qui changeras ma façon de continuer à vivre .dit toi bien que tant que je n'ai pas  réaliser ce qui me tient tant à coeur je ne baiserais les bras!

    ce serais me mentir si je disais que j'attends l'opération avec sérinité! non je balise comme ce n'est pas possible j'angoisse comme ce n'est pas permis me posant la terrible question

    aurais-je encore une fois droit à la chimio?c'est surtout a cause de cela que je balise que j'angoisse c'est horrible piqure faites apràs chaque séance de chimio si encore une fois je résiste a tout ça ce sera pas si mal!

    mais encore la térrible question "pour combien de tant? si je dois remettre ça tout les quatre-ans dans quel états vais -je finir?

    encore une fois je vais devoir supporter mon odeur qui  étrangement me faisait penser  à l'odeur d'un droguer :poiseusse venin s'incorporant rentrant par tout les pores de ma peau

    haut de coeur

    envie de déguelais

    fatigue

    fatigues insurmontable

    odeur

    odeur désagréable

    odeur

    haut de coeur

    gel, parfum

    odeur indésirable

    transpiration

    poiseuse

    je vais puer !

    le nucléaire vas me sortir par les troues du nez

    encore une fois je vais serrée les dents pour ne pas se plaindre

    encore une fois je vais serrée les poings

    encore une fois je vais me reconstruire pour la millienne fois

    encore une fois je ne pleurerais sur mon sort j'ai tant connue de situation autrement plus douloureuse

    et je suis encore là!

    il y à aussi la perte des cheveux ! c'est dur de se voir sans un poil sur le caillou !ont se regarde dans une glace en se posant des tas de questions"est-ce moi qui me regarde? est-ce moi je me fais peur!

    ça pique  , ça me rentre dans la peau j'ai la nette impression d'etre bouffer par les vers

    ça pique j'ai aussi la nette impression d'avoir de la vermine qui me ronge la peau!

    elle s'incruste

    ça pique

    ils me dévorent

    ils me grignottent

    sale petit cancer!

    voilà ce que sera mon quotidien!

    il ne faut absolument pas que je baisse les bras!

    l'écrits vas me tenir à bouts de bras ! addiction therapie heureusement que les mots sont là!!!!


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