• Sa drogue ! Sa saleté de drogue ! Plus de vingt ans ont passé, et je m'en souviens comme si c'était hier ! elle s'était collée sur son visage, ma fille n'avait plus d'âge tant son visage se modifiait au fil de chaque prise, son visage devenait gris et d'une tristesse dont j'ignorais les origines.

    Elle qui dans sa jeunesse était si délurée, s'intéressant à tout ! C'était elle qui me traduisait l'arabe quand nous allions faire les courses chez l'épicier du coin. Elle vivait son temps et mordait la vie à pleines dents ! Pourquoi s'est-elle acharnée à se détruire à petit feux ? sa souffrance intérieure était trop dure à supporter !

    Moi, sa mère, je ne l'ai pas vue filer entre mes mains !

    ce sont les gros bonnets de la drogue qui se sonr chargés  de lui volaient son adolescence et l'on maintenues dans une dépendance absolue

    je vous hais marchand  d'illusions je vous hairait toute ma vie! volé la vie d'une adolescente tout juste agée de vingt-deux ans pour vous enrichir sur son dos! vos armoires sont remplies de cadavres  d'une jeunesse qui mal dans sa peau vous est vouer corps et ames . franchement je trouve ça déguelasse! mais vous en avaient rien à foutre du moment que vos poches sont pleines à craquer que vous importe si le lendemains le cadavre d'un enfant meurt par overdose dans un canivaux quelconques ! vous vous en lavaient les mains car vous savaient  pertinament  que la police couvre vos sales méffaits .oui !du plus loin que je m'en souviendrait je vous hairait marchant de mort!confortablement installés dans vos méffaits t que personnes iras emmerdés  les proches, l'entourage ne vous importe guerre du moment que vos comptes en banques prosperes. moi mere de drogués j'ai le droit de gueuler un bon coups pour alerter la jeunesse sur ces méffaits là!

    si ma fille s'est mise lentement à dégringoler si sa souffrance insoutenable la faisait souffrir il y a une raison à tout cela : nos disputes en premiers lieux , par la suite l'indiference de son pere qui ne s'occupé plus d'elle alors qu'il était devenue son dieux ne voyant que par lui! ensuite la séparation, puis le pensionnat enfin moi et mon militanstime qui n'était guerre à la maison elle à grandit toute seule, comme une herbe folle se cherchant mais n'ayant aucun appuie . je croyait bien faire en lui laissant beaucoup de liberté, moi qui n'en avait pas eu étant jeune j'ai voulue faire tout le contraire de ce qu'on m'avait inculquée dans mon enfance et puis mai soixante huit était encore très present!

    enfin c'est tout ce mélange qui à fait dégringolait ma fille , la drogue à cette époque circuler assez librement

    ce n'est pas que je veille me culpabilisée à tout prix! je suis loin d'etre maso ! mais le recul du temps m'a aidée à y voir plus clair!


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  • mes années 80 je ne les souhaite à personnes,elles furent très dure à vivre ,et à supporter.

    il y eu d'abord "m" qui fus ma meilleure amie ,et qui m'à sortie d'une méllasse pas possible

    "m" qui en trois de temps fus térasser par un cancer généralisé

    "m" que je vis dégringolée,maigrir en un temps record

    "m" flottant dans sa jupe

    ce doutait-elle de quelque chose? elle ne nous à jamais posé de question. pourtant c'etait d'une évidence meme, c'etait trop évident pour qu'elle ne s'en apperçoive pas.s'est-elle vue partir?

    en toute sincerité je crois que oui! elle bossait comme aide puericultrice à "charles nicolle" hopital de rouen.

    moi qui est reçue pas mal de confidence durant son séjour à sérignan maison de repos je reste persuadais qu'elle savait le mal qui la rongée

    toujours à propos de son séjour à sérignan elle m'a montrée un poeme s'intitulant "autopsie d'une déprime"il y à que quoi se posée de sérieuse question. j'ai repris quelques mots de son poeme mais sans réellement le modifier. ce sont ces mots , qui sont encore là!

    quand elle à du quitter son domicile sur un brancard nos yeux se son croisées, je pense qu'il y avait pas mal de question.

    savait-elle qu'elle ne reviendrait jamais dans son appartement?

    moi je savais déjà je suis allée la voir dans son dernier sommeil, son visage ne reposée pas tranquille et détendue

    il y avait sur ses levres une sorte de rictus qui m'a laisser entendre qu'elle avait du terriblement souffrir. ce rictus hanteras longtemps ma mémoire.

    ce maudit rictus je l'ai souvent vue se promenée sur le visage de ma fille,certes ce n'etait pas le meme il affichait plutot le rictus du plaisir de chaque dose prise, celui là je le détestée car à coup sur il annonçait "loverdose"

    après le décés de "m" qui survint en juillet86 me revoilà encore une fois entourée de solitude, longtemps elle me poursuivra sans jamais vraiment y etre invitée pourtant aux fil des années qui passent elle deviendra ma seule"amie"

     

    un soir ou bien peut-etre un jour on sonne à ma porte, j'ouvre

    c'est un policier qui se presente et qui me dit

    "vous devez vous mettre en rapport avec le commisseriat de police de nice!

    le seul reflexe que j'eu c'est de penser à ma fille que j'ai du abandonnée à cause de sa drogue

    "merde qu'elle connerie a-t-elle pus  faire pour que la police vienne de relancer ici

    et puis c'est le neant c'est la terre qui s'ouvre comme pour m'engloutir, c'est le trou noir,c'est aussi un pan entier de ma vie qui chavire tout s'ecroule autour de moi!

    meme avec le recul du temps je n'arrive pas à recoller les morceaux de ce passé là! quand j'essaie en vain de démelées  de les recoller ils ne s'emboitent plus les uns aux autres ils fuits et je n'arrive pas à les remettre à leurs veritable place j'ai la terrible impression de monter les mailles d'un tricot mais à l'envvers et les efforts que je fais pour aller à la recherche de se passé m'est interdit c'est comme si la réalité avait tout effacer sur sont passage  ce  ne sont que cauchemars, que caniveaux, des mains qui appellent aux secours, des etres vivants faits de chairs déchirés et toutes mes nuits ne sont que bruits des bruits 

    infernal  qui dans ma tete cognent et s'acharment avec un terrible son de crecelle qui laboure mon cerveaux, des nuits entiere à me débatre contres ces fantomes ruisselantes de sueur

    les nuits me font peurs, je les aprehendent !

    j'y vois des drogués que l'on jetent pele-mele pour les transportaient je ne sais ou

    mes matins sont douloureux avec une bouche pateuse à cause des neuroleptiques "ymare" je me souviendrais lontemps de toi!!

     


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  • mon parcourt à été semée d'embuches , pas m'importe qu'elle embuches "l'alcool" suite au décés de ma fille( par overdose)

    ont crois oublier ont crois que la culpabilité vas s'envolée comme par enchantement,alors ont bois et ce jusqu'à la lie ont bois à ce trainé dans l'oublie ont bois sa désesperence ont bois son enfance, ont bois sa tristesse,ont bois! ont bois! mais les réveils sont tragiques alors ont s'enfonce de plus en plus, alors ont s'enfonce pour pouvoir effacer à tout jamais de sa mémoire l'instant devenue trop pénible à supporter et à assumer c'est un labyrhinte infernal c'est un précipite qui s'ouvre pour vous engloutir c'est une nébuleuse  qui referme ses bras sur vous.

    j'ai passé mon temps à me détruire sans penser un seul moment que je détruisais aussi la vie de mon autre enfant pourtant il comptait plus que tout au monde n'ayant que lui comme famille "la vie à une drole façon de vous façonnée surtout quand la malchance vous poursuit depuis votre enfance" mais bon! il faut savoir relever la tete se tenir droite dans ses bottes malgré les aléas de la vie

    j'y suis parvenue aprés un dernier coma épylheptique c'est la que le déclic c'est fait j'en avais aussi assez de faire les cliniques spécialisées ça eté le choc bénéfique j'en ai bavée j'ai serrais les poingts j'ai serrais les dents j'ai trembler comme seul tremble ceux qui se trouve en manque

    aujourd'ui je peux etre fiere de moi. VINGT ANS QUE NE CIRCULE DANS MES VEINES AUCUN ALCOOL? ALORS  JE ME TIRE MON CHAPEAU DE M4EN ETRE SI COURAGEUSEMENT SORTIE!


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  • des petits rien peut-etre mais qui à mes yeux ont eu une grande importance.comme la découverte de ma maladie(cancer du sein)je la situe fin 2008 vous savez ont essaie d'aucultée les mauvais souvenirs mais eux ils se rappelle à vous! quatre-ans à esperée oui déjà quatre-ans de remissions, de sursie d'accord mais pour combien de temps?les mois les plus pénibles furent: la chimio +la radio therapie et les examents c'est un vrais tourbillon vous vous demandez quand cela vas se terminer tout s'enchaine à une allure trépidentequi ne vous laisse plus le temps de réfléchir.mais le plus durà supporter c'est l'après opération :c'est à dire la chimio +la radiothérapie au hasard de mes examents j'ai fais la connaissance avec la solidarité ses regards croisés dans les chambres et les couloirs de l'hopital je ne peu les oublier tant ils mon apportaient le réconfort, des regards ou je pouvais y lire tout le réconfort et la solidarité. malgrè cela quand aux hasards des couloirs ou des chambres j'entendais les pleurs d'un bébé ou d'un jeune adolescent je ne pouvais que réfrénais une envie de pleurer sur le sort de ses si jeunes enfants et je pensais "déja si jeune et les voilà en proie avec la maladie. c'est cries m'étais insuportables non par les cries eux meme mais par la souffrance qui sortait de leurs jeunes corps je pensais également "toi tu as eu la chance de d'aimer peut-etre mal toi tu as eu la chance de rencontrer des gens à qui tu as donner l'amitié toi tu as eu aussi la chance de connaitre des contrés des horizons differents et toi que vas tu connaitre les couloirs des hopitaux la souffrance aux quotidien voilà ton triste sort petit jeune.tout ces regards croisés je ne peux les oublier ce n'était pas des regards de compations mais des regards pleins d'espoirs qui m'ont aidées a avancer! 


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